Ce rapport étudie les "réseaux de confiance" pour essayer de les améliorer. Il commence par exclure les catégories de transports et les professions qui n'occasionnent pas la nécessité de tels réseaux. Puis il détaille le fonctionnement d'un tel système et le rôle que doit y prendre chacun. Enfin, il explique le fonctionnement de ce réseau dans le cadre d'un autopartage (covoiturage) en y incluant la possibilité du cadre de l'ALM (Agence locale de mobilité) ou d'une SCIC (Société coopérative d'intérêt collectif).
Mettre en place l'autopartage ou le covoiturage n'est pas toujours facile : conduire sa voiture est un marqueur social et tout le monde n'a pas envie de monter avec une autre personne, parfois inconnue. Les réseaux de confiance qu'ils soient naturels ou créés dans le cadre d'ALM (Agence locale de mobilité) ou d'une SCIC (Société coopérative d'intérêt collectif) permettent cette mobilité écologique.